Motifs de consultation

 

La fasciathérapie, la pédagogie perceptive, la sophrologie et l’EFT s’adressent à un vaste champs de douleurs, symptômes physiques et de souffrances psychiques.

Voici une liste non exhaustives des principaux motifs de consultations.

Symptômes physiques

  • tensions, douleurs musculaires, articulaires, organiques, vasculaires
  • fatigue, épuisement, burnout
  • maux de tête, migraines
  • certaines maladie de la peau comme le psoriasis
  • symptômes liés à une maladie
  • douleurs, restrictions respiratoires, essoufflement (dont suites du covid)
  • douleurs et/ou adhérences post opératoires
  • effets secondaires de traitements médicaux
  • fibromyalgie
  • difficultés digestives
  • troubles du sommeil
  • frigidité, vaginisme
  • stérilité

Souffrances psychiques, détresses psychologiques

  • peurs, anxiété, angoisses
  • hyper vigilance
  • stress post traumatique, état de choc (accident, agression)
  • absence d’élan de vie, de sens, de vision sur le futur
  • deuil, séparation
  • phobies, TOC
  • manque de confiance, d’estime de soi
  • dépression
  • dépendance affective
  • troubles du comportement alimentaire
  • addictions
  • manque de structure
  • confusion : manque de clarté, de discernement
  • hyper sensibilité
  • hyper activité mentale (HP)

Difficultés émotionnelles

  • instabilité émotionnelle
  • hyper sensibilité émotionnelle
  • troubles de l’humeur
  • irritabilité
  • difficulté, incapacité à sentir et exprimer ses émotion
  • confusion, difficulté à identifier les besoins associés au langage émotionnel

Retrouver, réinvestir, guérir son corps mal aimé, mal traité

Une enfance, une adolescence privée de contact, d’affection réconfortante, de tendresse sécurisante, tout comme la mal-traitance, un abus, un viol, une sexualité mal vécue, … peuvent construire de véritables forteresses qui nous durcissent, nous « coupent » de notre corps et de nos sensations. Pour nous protéger, divers mécanismes conscients et/ou inconscients se mettent à l’oeuvre, mettant en grande difficulté la vie affective, le toucher, l’intimité.

Cette « dé-sensorialisation » qui permet de ne plus sentir la douleur, peut entrainer une distanciation voir une anesthésie du rapport à soi, aux autres et à la vie elle-même.

La fasciathérapie, son écoute bienveillante, son toucher doux et respectueux aident à libérer le vécu et progressivement à réparer ce qui a été blessé, traumatisé.

Elle restaure les limites corporelles, permet de réinvestir son espace privé, son territoire et de renouer une relation intime apaisée et non conflictuelle avec soi tout comme elle restitue la confiance relationnelle, base de l’intimité avec l’autre.